Chaque année, de nombreux enfants et adolescents sont diagnostiqués comme ayant des troubles du comportement ou des troubles du langage.
À l’école, ils dérangent. À la maison, ils sont incompris: « Tu me fatigues » « J’en peux plus ! » « Calme-toi »...
Que faire face à un fonctionnement jugé inadapté ? Si les étiquettes vont bon train, la maladresse et l’ignorance des adultes qui les entourent peuvent sérieusement entamer leur amour-propre et leur confiance en eux.
La dyslexie est un trouble d’apprentissage d’origine neurologique. Il s’agit donc d’un problème de fonctionnement dans le cerveau, et non d’un problème d’intelligence ni de stimulation. Plusieurs études suggèrent que la dyslexie est héréditaire.
La dyslexie est un trouble d’apprentissage, tout comme la dysorthographie et la dyscalculie. Ces troubles ont en commun de modifier la capacité à retenir, à comprendre, à récupérer ou à communiquer de l’information. Ils nuisent à l’apprentissage scolaire.
En France, 6 à 8 % de la population serait concernée par les troubles "dys-".
Mais "aucune étude fiable n’a donné un chiffre précis des troubles dys- en France", précise la Fédération.
On estime que 4 à 5 % des élèves d’une classe d’âge sont dyslexiques, 3 % sont dyspraxiques, et 2 % sont dysphasiques.
La dyslexie est un trouble d’apprentissage, tout comme la dysorthographie et la dyscalculie. Ces troubles ont en commun de modifier la capacité à retenir, à comprendre, à récupérer ou à communiquer de l’information. Ils nuisent à l’apprentissage scolaire.
En France, 6 à 8 % de la population serait concernée par les troubles "dys-".
Mais "aucune étude fiable n’a donné un chiffre précis des troubles dys- en France", précise la Fédération.
On estime que 4 à 5 % des élèves d’une classe d’âge sont dyslexiques, 3 % sont dyspraxiques, et 2 % sont dysphasiques.
Dyslexie : déficit en lecture
Dysorthographie : déficit de l’expression écrite
Dyscalculie : déficit du calcul
Dysphasie : troubles du langage
Dyspraxie : trouble développemental de la coordination
Dysgraphie : écriture
Le TDAH est un trouble du neurodéveloppement, qui touche environ 5,9% des enfants d’âge scolaire (1 à 2 par classe) et 3% des adultes.
En France, près de 200.000 enfants auraient un TDA/H soit un enfant touché par classe d’école primaire en moyenne(donnée INSERM 2005)
Il se caractérise par 3 dimensions cliniques:
Difficultés pour se centrer sur une tâche de façon soutenue, distractibilité : n’arrive pas à gérer les informations non pertinentes, très sensible à tous les distracteurs, désorganisation, se perd dans ce qu’il a à faire, manque de persévérance ne termine pas ce qu’il entreprend, ne peut pas gérer plusieurs tâches simultanément ou des consignes trop longues (déficit de la mémoire à court terme)
Difficultés pour se centrer sur une tâche de façon soutenue, distractibilité : n’arrive pas à gérer les informations non pertinentes, très sensible à tous les distracteurs, désorganisation, se perd dans ce qu’il a à faire, manque de persévérance ne termine pas ce qu’il entreprend, ne peut pas gérer plusieurs tâches simultanément ou des consignes trop longues (déficit de la mémoire à court terme)
Activité motrice nettement supérieure à la moyenne : s’agite de manière constante et désordonnée, a la bougeotte, semble en perpétuel mouvement, prend fréquemment des risques, peine à rester assis, s’agite, se lève, parle fort, ne peut pas jouer en silence, bavardages…
Les enfants présentant un TDAH sont souvent stigmatisés et considérés comme des enfants "étourdis", fainéants ou encore comme des enfants qui bâclent leur travail.
Il est important de rappeler que le TDA/H est un trouble neurologique qui implique un dysfonctionnement au niveau cérébral.
Ce trouble est un réel handicap pour eux et indépendant de leur volonté et génère souvent de l'anxiété du stress et une baisse de confiance en soi.
Les particularités cognitives et affectives des enfants & adolescents HP ;
Pour information ou rappel, le haut potentiel n’est pas un trouble, ni une pathologie, on ne parle pas de diagnostic, c’est un « plus », plutôt une force et on est considéré comme étant à haut potentiel quand on a un QI égal ou supérieur à 130.
Il s’agit d’un caractère inné et les enfants dotés de cette capacité représentent 2 à 3 % des élèves d’une école.
On utilise différents termes pour désigner ces jeunes intellectuellement supérieurs : haut potentiel intellectuel, surdoué, précoce, zèbre.
Les caractéristiques de la précocité dans l’enfance :
Et pourtant…
Un enfant haut potentiel
– peut ne pas être un élève performant,
– peut même être en échec scolaire,
– peut avoir des troubles associés tels que les DYS, le TDAH,
– est souvent « hyper tout » : hypersensible et hyper émotif , avoir une hyperesthésie,
– peut présenter une misophonie (aversion aux sons)
et/ou une désynchronise,
– avoir des tics et des tocs, autant de points qui ne font qu’accentuer un peu plus leur fonctionnement particulier.
Les principaux symptômes de la phobie scolaire sont assez simples à reconnaître :
En règle générale, donc, l’enfant se sent incapable de se rendre à l’école.
Ses angoisses ne se dissipent que quand il est sûr de ne pas y aller. Pour autant, chez les jeunes enfants, l’angoisse et la volonté de ne pas aller à l’école peuvent se manifester de façon plus implicite :
Un enfant qui souffre de ce trouble se trouve dans un véritable mal-être. La panique est tellement forte qu’il lui est presque impossible de se raisonner.
Certains enfants sont même obligés de rentrer au domicile tant l’angoisse est présente.
Cette phobie est donc à prendre très au sérieux.
Si elle n’est pas prise en charge à temps, cette dernière peut évoluer vers une totale rupture sociale avec des conséquences néfastes pour l’enfant : isolement social et affectif, dépression, abandon de la scolarité, marginalisation, etc.
Le refus scolaire anxieux s’explique par différentes causes qui s’additionnent entre elles. Il peut y avoir :
Bon à savoir : il ne faut pas confondre phobie scolaire et décrochage scolaire.
Les enfants ou adolescents atteints de cette phobie restent intéressés par les apprentissages, c’est l’établissement lui-même qu’ils n’arrivent plus à supporter.
Il faut bien penser à rechercher des causes exogènes traumatisantes comme le harcèlement ou une agression.
Un accompagnement avec un psychologue est nécessaire en parallèle pour permettre à l’enfant de revenir sur des faits traumatisants. Le lien est fait entre les deux professionnels pour accompagner au mieux l’enfant.
Les exercices de sophrologie se pratiquent aussi dans le quotidien du jeune pour lui apprendre à basculer dans son lieu ressource dès que la phobie ressurgie pour retrouver le calme et la détente que cela lui procure.
Les possibilités qu'offrent la sophrologie :
La sophrologie pour les Dys :
La sophrologie pour les TDA/H :
La sophrologie pour les enfants à Haut Potentiel :
La sophrologie pour les enfants qui ont une phobie scolaire :
Impact positif sur la perception des douleurs psycho-somatiques fréquemment rencontrées (nausées, vertiges, transpiration, troubles digestifs , spasmes …)
Et ainsi prévenir la phobie et l’échec scolaire.